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245. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIIe entretien. Balzac et ses œuvres (2e partie) » pp. 353-431

Il faut y ajouter l’invention dramatique, qui le rend en prose égal et souvent supérieur à Molière. […] Combien de fois, en le lisant et en déroulant avec lui les miraculeux et inépuisables méandres de son invention, ne me suis-je écrié tout bas : La France a deux Molières, le Molière en vers et le Molière en prose ! […] bien autrement conçu que celui de Plaute, de Térence ou de Molière. […] Je le répète avec conviction : il a dans ses innombrables romans cent fois dépassé en invention l’incomparable Molière.

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