Il faut y ajouter l’invention dramatique, qui le rend en prose égal et souvent supérieur à Molière. […] Combien de fois, en le lisant et en déroulant avec lui les miraculeux et inépuisables méandres de son invention, ne me suis-je écrié tout bas : La France a deux Molières, le Molière en vers et le Molière en prose ! […] bien autrement conçu que celui de Plaute, de Térence ou de Molière. […] Je le répète avec conviction : il a dans ses innombrables romans cent fois dépassé en invention l’incomparable Molière.