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175. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1857 » pp. 163-222

Et je suis très embêté, parce que, avec ça, j’adore la ligne et Ingres… Mon opinion sur Molière, vous voulez l’avoir, sur Molière et Le Misanthrope. […] — Non, Molière je ne le sens pas du tout. […] L’intrigue, nous n’en parlons pas, n’est-ce pas, ça n’a pas d’importance ; mais la langue, mais les vers, c’est beaucoup plus fort que Molière. Pour moi, Molière, c’est Prud’homme écrivant des pièces ! […] D’autre part, l’idéal anecdotier et de l’histoire en vaudeville, dont la trouvaille sublime est de composer un tableau, à l’instar de Molière lisant Le Misanthrope chez Ninon de Lenclos.

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