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174. (1825) Racine et Shaskpeare, n° II pp. -103

Molière était romantique en 1670, car la cour était peuplée d’Orontes, et les châteaux de province d’Alcestes fort mécontents. […] monsieur, qui a jamais parlé de siffler Voltaire, Racine, Molière, génies immortels dont notre pauvre France ne verra peut-être pas les égaux d’ici à huit ou dix siècles ? […] Ainsi que dans les cabinets littéraires de la rue de l’Odéon, on y lit bien plus La Harpe que Racine et Molière. […] Je vois avec plaisir que vous ne croyez pas qu’un système dramatique quelconque soit capable de créer des têtes comme celles de Molière ou de Racine. […] Dans une monarchie, pour qu’un Molière soit possible, il faut l’amitié d’un Louis XIV.

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