C’est, comme dit Molière, la grande règle de toutes les règles. […] Habitant les patois ; quelques-uns aux galères Dans l’argot ; dévoués à tous les genres bas ; Déchirés en haillons dans les halles ; sans bas, Sans perruque ; créés pour la prose et la farce ; Populace du style au fond de l’ombre éparse ; … N’exprimant que la vie abjecte et familière, Vils, dégradés, flétris, bourgeois, bons pour Molière.