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407. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. FAURIEL. —  première partie  » pp. 126-268

Le souffle de la tempête généreuse courait par toute la France et y enflammait les âmes. […] L’introduction pourtant mérite de compter dans l’histoire de la critique littéraire en France. […] Il aimait beaucoup la France, et sa femme était Française ou du moins Genevoise. […] Même lorsqu’on a pour soi la raison, il y a tout lieu d’aller plus vite en France. […] L’Italie, aux diverses époques, a toujours tant influé sur la France par sa littérature, qu’il était bon qu’à un certain moment la France le lui rendît en la personne d’un si noble poëte dramatique.

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