Ceux-ci, pourvu qu’ils gardent la plus grosse part, souffrent volontiers que les partis politiques, chacals et valets avides, détournent les viscères les plus purulents de cette charogne : la France. […] Et les pauvres se taisent, et ils courbent l’échine, et rien ne semble pouvoir les tirer de leur apathie… Leurs maîtres ont trop bien réussi à les abrutir car, grâce à l’engourdissement mortel où s’endort notre race, ils n’obtiennent même pas de leurs esclaves l’effort nécessaire au fonctionnement des rouages sociaux… Le cœur de la France ne bat plus qu’à coups ralentis. — Et l’on ne voit pas encore poindre l’aube attendue.