En rendant compte, en 1703, d’une édition des œuvres de Despréaux, ils se permirent quelques réflexions sur la Satyre contre les femmes, & sur l’Epitre de l’amour de Dieu. […] De-là, ajoute t-il, cette sévérité de mœurs, cette disette de sentimens qu’on remarque dans tous ses ouvrages ; de-là, sa Satyre contre les femmes, ses traits contre Lulli, Quinault, &c., & contre toutes les poësies galantes : de-là encore, selon ce même auteur, son aversion pour les jésuites, la Satyre sur l’équivoque, l’Epître sur l’amour de Dieu ; de-là, son admiration pour Arnauld, ses liaisons avec Port-Royal, & avec les jansénistes. […] Nennida, mon père , répondit maître Antoine, c’est celle de l’Amour de Dieu.