Rien ne demeure, tout change, tout s’use, tout s’éteint : Dieu seul demeure toujours le même. […] Son Éloge de Louis XIV n’est remarquable que par la première phrase : « Dieu seul est grand, mes frères !
Rien ne demeure, tout change, tout s’use, tout s’éteint : Dieu seul demeure toujours le même. […] Son Éloge de Louis XIV n’est remarquable que par la première phrase : « Dieu seul est grand, mes frères !