Mais Dieu lui reste. […] Ô Dieu ! […] Il n’apporte à son Dieu que les restes d’une vie flétrie et d’un cœur désabusé. […] Vous vouliez un Dieu : vous avez un Jupiter d’Opéra. […] Il n’en était rien, Dieu merci !
Mais Dieu lui reste. […] Ô Dieu ! […] Il n’apporte à son Dieu que les restes d’une vie flétrie et d’un cœur désabusé. […] Vous vouliez un Dieu : vous avez un Jupiter d’Opéra. […] Il n’en était rien, Dieu merci !