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403. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XII. MM. Doublet et Taine »

Il l’est envers Dieu et envers les hommes, — n’admettant que lui-même et sa propre plaisanterie. […] La voix de l’homme est un fait ultramondain étranger au cosmos et particulier à l’homme, venant, nous le voulons bien, d’une vie antérieure, mais à la condition que cette vie antérieure sera Dieu. […] L’homme tombe ; il perd Dieu, la lumière, l’intelligence. Qui peut lui rendre ce Dieu perdu ? […] Son Dieu — le plus grand psychologue de ce temps, dit-il — c’est Henri Beyle (Stendhal) ; Henri Beyle, un esprit puissant, c’est incontestable, mais d’un matérialisme presque crapuleux.

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