On peut dès lors apercevoir comment la notion prépondérante de l’Humanité doit nécessairement constituer, dans l’état positif, une pleine systématisation mentale, au moins équivalente à celle qu’avait finalement comportée l’âge théologique d’après la grande conception de Dieu, si faiblement remplacée ensuite, à cet égard, pendant la transition métaphysique, par la vague pensée de la Nature.