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1300. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Ô les belles questions à se faire, par Dieu ! […] Et Dieu sait s’il inquiétait la garde et le commissaire, et Dieu sait s’il avait une armée à sa suite et s’il jugeait sans appel ! […] Grâce à Dieu, je n’ai point un esprit à contre-poil. […] Vive Dieu ! […] Mais, Dieu merci !

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