… Il faut un Dieu ! […] Sans plus chercher au bout la pelouse rêvée, Acceptons ce chemin qui se brise au milieu ; Sans murmurer, aidons à l’humaine corvée, Car le maître, c’est Dieu !
… Il faut un Dieu ! […] Sans plus chercher au bout la pelouse rêvée, Acceptons ce chemin qui se brise au milieu ; Sans murmurer, aidons à l’humaine corvée, Car le maître, c’est Dieu !