Ses classes finies, comme il avait hérité de quelque argent, il eut les moyens de voyager en Italie, en France, et enfin d’étudier librement cinq années dans les Universités allemandes. […] Ce ne serait pas la peine d’avoir étudié à Berlin si on n’en trouvait pas une raison gründlich : « Il y a donc en moi quelque chose qui satisfait, flatte ou apaise ce besoin profond de la femme : n’est-ce pas le besoin d’être comprise et de recevoir l’étincelle ? […] Il institue dans le Journal un parallèle étudié entre les deux femmes (sans notes chiffrées cependant), dont les propos solides lui plaisent fort. […] J’en tire de l’instruction, sans larmes et sans honte pour elle. » On pense au bon Huet, évêque d’Avranches, qui, lorsque ses ouailles le demandaient, faisait répondre : « Monseigneur étudie ! […] On fait ainsi un tour en paradis », Seriosa lui dit : « Il y a quinze ans que je vous étudie et que je crois vous connaître.