Études de quoi, de qui ? On ne peut plus aujourd’hui écrire deux cents pages de lieux communs sans les escorter de ces sous-titres : étude parisienne, ou : étude moderne (ô la modernité !) […] Les vieux « faiseurs d’études » détaillent moins — et pour cause ; ne regrettons rien. […] J’arrive à l’étude sur l’argot. […] Caro, il eût pu intituler son étude : « Les Confessions politiques, littéraires et philosophiques » de M.