sM ’abbé Flottes, continuant ses Études sur Pascal (Montpellier, 1845), se méprend et abonde dans son sens quand il attribue ces paroles à M ousin ; elles sont de M e Chateaubriand.
sM ’abbé Flottes, continuant ses Études sur Pascal (Montpellier, 1845), se méprend et abonde dans son sens quand il attribue ces paroles à M ousin ; elles sont de M e Chateaubriand.