L’étude de la nature humaine est infinie : au moment où l’on croit la tenir et se pouvoir reposer un peu, elle échappe, et c’est à recommencer. […] Ma première jeunesse, du moment que j’avais commencé à réfléchir, avait été toute philosophique, et d’une philosophie positive en accord avec les études physiologiques et médicales auxquelles je me destinais. […] L’Étude sur La Rochefoucauld annonce la guérison et marque la fin de cette crise, le retour à des idées plus saines dans lesquelles les années et la réflexion n’ont fait que m’affermir (1869).