On peut supposer aussi que le supérieur des Missions étrangères eut à s’occuper de la Louisiane : seulement, on ne sait pas qu’il y fût allé. […] Vous lisez l’un de ses poèmes ; vous n’y comprenez pas grand-chose : et vous avez le sentiment de lire une traduction d’un poème étranger. […] Je te reconnais, France, à la grosseur des guêpes, des mûres, des hannetons… » C’est à mille petits détails qu’un étranger ne voit pas, qu’on reconnaît un visage aimé. […] Il a raison de signaler aussi le tort que fait à notre langue l’invasion des mots étrangers, surtout anglais. […] « 2o Je m’engage à préférer un mot français à son concurrent étranger, dans les cas où le remplacement est possible… » Bien !