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675. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre III. La Déformation de l’Idéal classique (1720-1801) » pp. 278-387

« Tous ceux qui étaient riches il y a six mois sont à présent dans la pauvreté, et ceux qui n’avaient pas de pain regorgent de richesses… L’étranger a tourné l’état comme un fripier tourne un habit… Quelles fortunes inespérées, incroyables même à ceux qui les ont faites ! […] Par exemple, « l’esprit classique » ne s’était déterminé qu’en achevant de se libérer, lui, nous avec lui, et notre littérature avec nous, de toute influence étrangère, mais, on vient de le voir, c’est au contraire en se mettant à l’école du « philosophisme anglais », que l’« esprit encyclopédique » a pris conscience de lui-même. […] Mais quand avec autant d’empressement qu’on évitait naguère d’imiter l’étranger, on le traduit maintenant et on s’en inspire, peut-on dire que rien n’ait changé ? […] Bengesco peuvent à eux seuls tenir lieu de la plupart des autres, qu’ils résument, ou auxquels ils renvoient Nous y ajouterons cependant, afin qu’on ait sur Voltaire l’opinion de l’étranger ; John Morley, Voltaire, Londres, 1874 ; — J.  […] Cruppi : L’Avocat Linguet, Paris, 1895]. — Mais on en a du moins de leur diffusion à l’étranger ; — dans le pays de Liège par exemple [Cf. 

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