Avant lui, notre Nation étoit réduite à admirer chez les Anciens ou les Etrangers les beautés du Poëme épique : Fénélon parut, & nous lui dûmes la gloire de pouvoir offrir un chef-d’œuvre capable de surpasser peut-être, ou du moins de balancer la gloire de ceux qui l’avoient précédé. […] Nous voulons croire que ce sont des sentimens étrangers qui l’ont déterminé à faire cet outrage à un des plus glorieux monumens de notre Littérature.