Il sent qu’il a envers eux des devoirs, non seulement de protection contre l’étranger, mais aussi, et bien plus encore, de justice et de charité. […] Bref, il est dans un état d’esprit auquel, depuis des siècles, les souverains sont restés à peu près étrangers, et qui n’a guère été connu, dans sa plénitude, que de certains princes religieux du moyen âge.