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692. (1874) Histoire du romantisme pp. -399

Asselineau, à qui nous souhaitons de rencontrer ce dahlia bleu, emblème de l’éternel désir, et qu’il vaut peut-être mieux ne trouver jamais. […] C’est comme une nénie de séparation éternelle, comme l’adieu d’un voyage sans retour. […] Ce qui lui manqua toujours, c’est le style, cet émail qui rend éternelles les œuvres qu’il revêt. […] Seulement ils frappèrent à leur coin ineffaçable le métal fourni par l’époque et en firent des médailles éternelles. […] Nul pressentiment funeste, rien qui présageât la séparation éternelle.

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