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567. (1868) Rapport sur le progrès des lettres pp. 1-184

Que la littérature classique reste donc comme l’exemplaire éternel du beau dans l’art ! […] C’est le dogme éternel de toute littérature. Comme le dogme éternel de toute justice est de ne pas condamner sans savoir. […] l’adultère est puni par la satisfaction à perpétuité de sa concupiscence ; les amants coupables sont toujours l’un devant l’autre, éternels forçats de l’amour. […] L’ombre descendit sur le front où la popularité semblait avoir posé un laurier éternel.

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