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485. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1870 » pp. 321-367

* * * Entre deux êtres qui se sont aimés comme nous, la séparation éternelle, sans la reconnaissance d’une seconde, sans un serrement de main, sans un adieu du mourant au vivant. […] * * * En dépit de tout ce que mes yeux voient, de tout ce que mes sens touchent de l’affreuse réalité, l’idée de la séparation éternelle ne peut s’asseoir dans ma cervelle. […] ces chants d’église m’assassinent avec leur éternel et implacable Requiescat in pace .

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