Je verrais dans un éternel crépuscule ce globe dont je n’entendrais pas le bruit à mes pieds. » Voici la poésie de l’infini devenue mélancolie lyrique ; elle dicte à Faust des vers dignes d’être répétés par l’écho des firmaments. […] Se livrer sans réserve l’un à l’autre, s’enivrer d’une félicité qui doit être éternelle, oui, éternelle ! […] Et les étoiles éternelles ne se montrent-elles pas en nous regardant avec amour ? […] Tout ne flotte-t-il pas dans un éternel mystère, invisible, visible, autour de toi ?