La modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable. […] L’Ève éternelle tombe dans l’éternel piège. […] Rien de ce qui est éternel et universel n’a besoin d’être acclimaté. […] Rien de plus cosmopolite que l’Éternel. […] Elle est éternelle et ne doit jamais avoir besoin d’un secours extérieur.