Leurs pleurs ne sont point perdus : la religion les reçoit dans son urne, et les présente à l’Éternel. […] qu’il était étonnant d’oser trouver des conformités entre nos jours mortels et l’éternelle existence du Maître du monde ! […] Il sera saisi d’une terreur d’autant plus étrange, qu’il n’en connaîtra pas l’objet ; il tremblera dans un cimetière où il aura gravé que la mort est un sommeil éternel ; et, en affectant de mépriser la puissance divine, il ira interroger la bohémienne, ou chercher ses destinées dans les bigarrures d’une carte.