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25. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « VII. M. Ferrari » pp. 157-193

La bourde tudesque empâterait Arlequin lui-même d’une éternelle épaisseur. […] En effet, si la fatalité est la reine du monde, la loi éternelle, pourquoi le philosophe est-il triste lorsqu’il proclame ses arrêts ? […] Il n’a oublié ni une action ni une réaction de ces temps de crise éternelle. […] Il déclare, à toute page, que le monde est la proie d’une dualité éternelle. […] Tout pour lui s’y passe et y revient dans d’intraitables et d’éternelles combinaisons.

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