Héloïse aime, Héloïse brûle ; mais là s’élèvent des murs glacés ; là tout s’éteint sous des marbres insensibles ; là des flammes éternelles, ou des récompenses sans fin, attendent sa chute ou son triomphe. […] L’éternelle joie de son âme est de sentir que toutes ses prières sont exaucées, tous ses vœux résignés. […] Elle meurt enfin au son des harpes célestes, et s’évanouit dans les visions d’un jour éternel.