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1789. (1896) Hokousaï. L’art japonais au XVIIIe siècle pp. 5-298

  Sur un mortier du riz, un coq qui n’est pas l’éternel coq de profil d’Hokousaï, mais un coq de trois quarts, piété de côté dans une attitude batailleuse ; un coq au rouge vineux de sa crête s’enlevant sur le noir de sa queue et de son poitrail : le coq le plus artistique des coqs du maître, et dont la pochade prend, à distance, le trompe-l’oeil de l’aquarelle la plus achevée.

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