Le délice éternel que le poète éprouve, C’est un soir de durée au cœur des amoureux ! […] Il annonce à l’éternel voyageur qu’il est pardonné et qu’il peut enfin mourir. […] Il est certainement un des « compères » les plus originaux et les plus fins de l’éternelle féerie. […] Mais pourquoi ajouter que c’est justement ce qui n’est pas vieux comme le monde, ce qui n’est pas dans « l’éternel fonds humain », qui est banal ? […] Zola. « Une amertume affreuse, lui empoisonnait la bouche…, l’inutilité de tout, l’éternelle douleur de l’existence.