Ce sont, ses vers, en une fluente et grise monotonie, ni vers ni prose, une éternelle mélopée, un peu falote, coupée de soupirs : par qui et à propos de quoi ? […] La matière étant éternelle et illimitée est représentée virtuellement par le cercle, qui si grand qu’il s’élargisse, étant par le fait de cette matière illimité, s’élargira éternellement avec la fatalité de rester le même : la Matière se mouvant selon le cercle n’évoluerait pas, ne progresserait pas. Mais si elliptiquement elle meut : éternellement et infiniment elle sort par l’ellipse de la fatalité du cercle, elle évolue avec progrès — elle va vers l’affranchissement éternel et infini de la ligne droite, l’ellipse s’allongeant sans cesse vers celle-ci. […] « Hors que, se transformant équivalente du cercle virtuel virtuellement éternel et infini, à la suprême transformation de l’elliptique périphérie en une droite vainquant l’ellipse n’ira pas : et l’ellipse, de l’infinie fatalité ne pouvant avoir la fin, éternelle et infinie se transforme. […] Inégalité qui devient égalité — : éternellement (d’où le progrès infini et éternel !)