Et pourtant la précision quant à l’état normatif de la propriété littéraire, depuis l’Ancien Régime, ne manque pas d’impressionner. […] Sans doute l’équilibre de l’artiste, l’harmonie de sa vie ne doivent pas se transformer en un état de béatitude creuse. […] Mais laissons les choses en l’état et constatons que cet état de choses n’a jamais été sérieusement regretté par personne. […] Quel « gracieux état du rire universel »58. […] Ce que confirma la lecture de Paul Claudel, avec sa célèbre définition (Nouvelle Revue Française, oct. 1912) de « mystique à l’état sauvage ».