On apprenait donc à Sienne l’arrivée d’une nombreuse artillerie amenée de Florence, et il fallait parer au découragement des Siennois qui provenait surtout de l’état de santé de Montluc et de la crainte de le perdre : « Que ferons-nous ? […] Le bâton de maréchal, que Henri III lui mit en main à Lyon à son retour de Pologne (1574), ne fut qu’une récompense des services passés : Montluc, estropié et âgé de plus de soixante-dix ans, était hors d’état d’en rendre de nouveaux.