Les Maures établis en Espagne empruntaient de la chevalerie, dans leurs romans, son culte pour les femmes ; ce culte n’était point dans les mœurs nationales de l’Orient. Les Arabes restés en Afrique ne ressemblaient point, à cet égard, aux Arabes établis en Espagne. […] Si la liberté s’établissait en Italie, il est hors de doute que tous les hommes qui indiquent actuellement des talents distingués, les porteraient beaucoup plus loin encore.