Comment donc, puisqu’il est établi que Jean et Lucienne ne souffrent que d’une maladie de la volonté, seront-ils amenés à « vouloir » ? […] Et, d’ailleurs, tu n’es pas en état d’établir cette balance. […] Sardou, au lieu d’emprunter au spiritisme un simple « truc » pour son dénouement, n’ait pas fait du spiritisme le fond même de sa pièce, et qu’il n’ait point établi toute sa fable sur des communications supposées réelles entre les vivants et les morts. […] Établissons le bilan des griefs respectifs de Louise et d’Henri. […] » Quel joli souvenir, plus tard, pour un quinquagénaire riche, établi et père de famille !