Ces dégoûts de la société, qui viennent, à de certaines époques et dans de certaines circonstances, saisir les hommes chagrins et mélancoliques, sont une vraie maladie morale qu’il faut guérir. […] Les inconvénients de la société, qui à toutes les époques blessent toujours plus ou moins certains hommes, se font bien plus sentir, ou deviennent bien plus généraux, dans les temps de révolution, ou dans les temps qui précédent les révolutions. […] Il faut, à toutes les époques, lutter contre cet instinct antisocial de la multitude ; il faut, à toutes les époques, propager les idées sociales au sein de cette multitude.