Ce Renard, ce Loup, c’étaient le trompeur et sa dupe : c’était l’époque. […] Il faut chercher la part du tour d’imagination particulier à cette époque, et la part de ce bon sens, commun à toutes les époques de notre histoire, et qui, d’un siècle à l’autre, se développe et se perfectionne, en demeurant le même. […] Ces trois expressions de la même pensée marquent nettement trois époques de la même poésie. […] L’érudition était l’originalité de son époque. […] Les mœurs galantes de l’époque y disposaient d’ailleurs et l’amour-propre y trouvait son compte.