On a réussi dans le lyrique, c’est-à-dire dans l’ode, dans la méditation, dans l’élégie, dans la fantaisie, dans le roman même, en tant qu’il est lyrique aussi et individuel, je dirai plus, en tant qu’il rend l’âme d’une époque, d’un pays : mais ceci s’éloigne. […] L’époque de transition, le second seizième siècle, où nous nous trouvons, a commencé par un Ronsard : il faut prendre garde qu’il ne finisse par un Du Bartas et un Malherbe156. » Laissons ces noms, ces rapprochements, toujours inexacts, et qui resserrent.