Mais quelque lassitude se mêle à cette ivresse quasi physique ; et après toute cette débauche de gentillesses fondantes, de strophes musquées, d’odelettes glacées à la framboise, on aspire violemment après le verre d’eau pure d’une simple émotion. L’émotion : voilà ce que Catulle Mendès semble avoir souci de fuir à tout prix. […] Elle le souligne, elle le soulève jusqu’à produire cette émotion intense et sincère que, seules, procurent les grandes œuvres.