Au reste, homme du monde, et très-semblable à ce que les lecteurs pourront voir dans Arthur, le travail et l’idée de la gloire ne furent que des éclairs dans une vie donnée plutôt aux sentiments et aux émotions. […] C’était dans la poésie comme un talent de femme, le talent ne survivant jamais à l’émotion, le début toujours vrai et parfois puissant, des traits faciles, et bientôt la fatigue, et le vers libre pour se soulager, et pas de conclusion. […] Comme l’intérieur de la mère de Julie, de ces petites maisons élégantes et fragiles, est touché avec relief, avec émotion, et par quelqu’un qui les a trop vues ! […] C’est comme une tendresse infinie qui m’inonde de je ne sais quels sentiments pleins d’émotion qui se forment de tout ce qu’il y a de beau, de bon, de noble dans la créature déchue, mais pardonnée ; exilée du ciel, mais remise dans la voie qui le fait retrouver. […] Mais la compagnie nous était survenue, et, elle-même, se défiant de son émotion, elle prit garde pour le reste du jour de ne pas prêter à un nouveau tête-à-tête ; il n’y eut donc point à Crosey de bosquet de Clarens : le baiser ne descendit pas ; et, à vrai dire, il était déjà tout descendu… »