Ce que nous demandons à l’enfance et à la jeunesse de Nodier, c’est moins une suite de faits positifs et d’incidents sans importance que ses émotions mêmes et ses songes ; or, de sa part, les souvenirs légèrement romancés nous les rendent d’autant mieux. […] Le Peintre de Saltzbourg, journal des émotions d’un cœur souffrant, suivi des Méditations du Cloître, 1803.