Legendre nous la présente, la comédie des deux amoureux ironiques et récalcitrants, rapprochés par une émotion commune, est charmante et ne m’a point paru trop écourtée. […] … » Il crève d’émotion et d’orgueil… Et plus tard, sans doute, à onze ans, Boileau, — oui, Boileau ! […] Et, quand il le faut, quelle puissance d’émotion ! […] S’il m’intéresse, s’il m’émeut, je ne suis pas maître de m’arrêter sur mon émotion, de la prolonger, de la savourer. […] Pailleron avec une finesse, une souplesse, une précision et, vers la fin, avec une émotion si puissante que nous ne songions plus à discuter, car Max, c’était nous-mêmes.