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425. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Sainte Térèse » pp. 53-71

Allez donc faire comprendre aux âmes du xixe  siècle les humilités de la Sainte, qui s’appelle criminelle, elle qui n’a jamais péché mortellement selon l’église, et qui l’est à ses yeux parce qu’elle emprunte un peu de la lumière de Dieu pourvoir l’infinie petitesse des plus grandes vertus ! […] » Et, effrayée, humblement et raisonnablement effrayée, elle appelle à soi la Science, la Doctrine, la paternité du Confesseur ; elle y appellerait toute l’Église, pour s’attester qu’elle ne se trompe pas, que ses visions ne sont pas des pièges de l’Orgueil.

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