L’impartialité historique, c’est-à-dire la science, n’existait pas dans les historiens modernes dès qu’il s’agissait de l’Église. […] L’Église n’était pas encore aux idées de conservation, la politique des gouvernements difficiles. […] l’Église a toujours trop vite pardonné, trop vite oublié, quand il s’est agi des siens. […] C’est là ce qui rendit la soumission de l’Église d’Orient si lente, si empêchée, si difficile. […] L’opinion rompit avec la croyance, et ce levier que l’Église plaçait sur le cœur des peuples ne retrouva pas son point d’appui.