Toute sa vie, on peut dire qu’il le suivit de près et le côtoya : également attaché à l’éducation de jeunes princes, plus tard reçu sous ses auspices à l’Académie française, il le retrouvait à Versailles, il le visitait fréquemment à Meaux et à Germigny. […] Son chant était sans affectation, et néanmoins il faisait plaisir » Tous les détails donnés par Le Dieu ne sont pas également intéressants, et il en est dont on se passerait bien.