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247. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Œuvres de Frédéric le Grand (1846-1853). — II. (Fin.) » pp. 476-495

Une autre amitié d’une autre nuance, mais également sincère et fidèle, est celle que Frédéric voua jusqu’à la fin à son vieux compagnon d’armes et général le baron de La Motte-Fouqué. […] Milord Maréchal était à la fois un caractère original, un cœur d’or et un esprit fin ; il avait le fonds d’esprit écossais, quelque chose de ce tour que Franklin a également porté dans le conte moral et dans l’apologue. […] Si je savais quelque chose de plus capable de vous attirer, je le dirais également. » Milord Maréchal se rendit à ce cordial rappel et s’en revint habiter à Potsdam une maison bâtie exprès pour lui dans le faubourg.

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