Que l’on rapproche de cette réflexion, le désacord fréquent noté plus haut entre l’expression et l’exprimé, notamment dans les réalistes où les mots sont sans cesse au-dessus des choses ; enfin que l’on tienne compte de ce fait extraordinaire que Flaubert à écrit les œuvres les plus diverses avec le même style, que sa Lettre à la municipalité de Rouen est conçue comme le discours de Hanon dans le temple de Moloch, qfle Frédéric Moreau parle de Mme Arnoux comme saint Antoine d’Ammonaria ; il paraîtra évident qu’en Flaubert, au-dessus de la division fondamentale de son esprit également sollicité par le beau et par le réel, une tendance supérieure et unique existait, celle d’assembler en une certaine forme de phrase, certaines catégories de mots.