Sauf les rognures de papier manifestement indifférentes, il est très juste de publier tout ce qu’un grand écrivain a écrit. […] Il faut bien croire que Victor Hugo commençait par peindre et finissait par dessiner, ce qui, pour les écrivains du moins, est à la rigueur possible. […] Il est des gens pour qui le changement de lieu est un besoin physique absolument irrésistible, comme à certains orateurs ou écrivains le changement de lieux communs. […] Nous avons quelques écrivains dramatiques, et nous avons trois grandes comédiennes : Sarah, Réjane, Bartet, sans vouloir leur donner de rang, et sans compter qu’immédiatement après elles et il y a quelque part, — pourquoi n’est-ce point là où il faudrait qu’elle fût ?