Ses amis, qui l’admiraient en ses causeries et qui n’avaient jamais entendu causer comme cela dans aucun ministère, se pendirent à ses oreilles pour lui faire écrire quelque chose comme eux. […] Il écrivit beaucoup mieux qu’eux. Il écrivit, dans des Revues, quelques articles, sous l’X de son nom, reproduits dans l’édition actuelle, et dans le Journal des Débats un article sur le scepticisme, à propos de Jouffroy, qui, par parenthèse, est bien tout ce qu’on a écrit jamais de plus profond et de plus subtil sur le scepticisme ; mais tout cela, ce n’est pas ses lettres ! […] Quoiqu’il ait écrit ce chef-d’œuvre de discussion sur le scepticisme dont j’ai parlé plus haut, Doudan était un sceptique de fait, s’il ne l’était pas de théorie. […] la poudre, c’est celui qui écrit de telles choses qui l’a dans les yeux !